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Ces tableaux de vénerie présentent
des chiens de meute et des veneurs de différents équipages
français et belges. Ces aquarelles d'un réalisme rare ont
une histoire, liée à celle de l'artiste qui les a peints et
aux veneurs amateurs d'art, qui ont été ses mécènes
et amis. L'auteur vous conte ses rencontres et la genèse de chacune
de ces oeuvres en vous donnant le fil d'Ariane d'une meute à l'autre,
d'équipage en équipage. Chaque tableau vous apparaitra plus
riche et plus vivant, si vous connaissez le pourquoi et le comment de sa
création, décrits avec châleur par leur auteur.
L'histoire commence en bas de la page ... |
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3 tableaux de chiens qui évoquent la
passion de la vénerie, peints sur commande.
cliquez sur chaque image pour accéder à son histoire |
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Etudes
une page d'études, reprenant le même
sujet, six chiens de vénerie blancs, en multipliant les techniques:
Si vous êtes veneur, commandez ce sujet aux couleurs de votre équipage,
ou avec votre bouton aux quatre coins... |
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Le tryptique ci-dessous est à
vendre
400 Euros
Contact
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"Mon
grand-père, Jean Cruse"
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La vénerie, je suis tombé dedans
quand j'étais enfant. Mon grand-père, Jean Cruse,
était le maître d'équipage du Saint-Raphael,
qui courrait le chevreuil dans les Landes. Il fut l'un des initiateurs
du "Club du chien d'ordre", le club des maîtres
d'équipage de la Société de Vénerie.
Le voici dessiné par le maître du genre, Xavier de
Porets, à cheval avec sa meute devant la propriété
de famille.
Il y a quelques lunes, je devais avoir
16 ans, lorsque Evelyne Janssen est venue chasser quelques jours
dans les Landes, où sa famille avait quelques arpents de
forêt. Elle était belle, très gaie et excellente
cavalière.
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Je me souviens que mon grand-père
trouvait que, vu sa passion pour la vénerie, elle aurait
fait un parfait parti pour moi.
C'est vrai que tout bien pensé, il n'avait pas tout à
fait tort. M'enfin !
Laissez moi vous conter nos retrouvailles, plus de 20 ans après,
qui m'ouvrirent les portes de la Belgique
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Une photo surprise
Cette photo, c'est comme les bonus à la fin des génériques
Vous voyez le peintre dans ses jeunes années... à
cheval, bien sûr!
Col de dentelle, costume du soir en velours noir, ceinture de soie
et escarpins vernis... un petit prince, mais n'est ce pas la signification
même de mon prénom, Cyrille.
Derrière moi, vous apercevez la jambe de ma soeur, qui cherche
à m'embêter en amplifiant le mouvement du cheval à
bascule. Ah les filles !
A cette époque d'enfance heureuse, nous montions à
cheval dans la propriété, sur un poney qui s'appelait
"Caramel" dont le compagnon était un âne,
surnommé "Chocolat". Notre maître d'équitation
était le vieil ordonnance de mon grand-père pendant
la guerre, le père Latapi, qui régnait alors sur l'écurie.
Il serait bien surpris de se voir cité ainsi sur internet,
lui qui n'avait probablement jamais regardé une télévision.
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La
chasse à courre et le débat houleux autour de
la vénerie, qui a agité la Grande Bretagne pendant
15 ans,
avaient ils d'autres motivations que d'épargner les
renards ?
L'étude des réalités historiques, économiques
et sociales de la vénerie anglaise
révèlent une révolution politique profonde
au Royaume Uni.
attention l'article en pdf est lourd
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